Dans le cadre de mes mandats avec l’agence Lyketil DIGITAL LAB, que j’ai co-fondée en 2017, je m’occupe de mettre en valeur vos objets et vos réalisations à travers des concepts visuels marquant, pour la publicité de votre marque.
En tant que créatifs, nous conceptualisons vos campagnes de manière à produire du matériel aussi bien pour le print (points de vente, posters…) que le web, pour lequel nous déclinons ces visuels (site web, publicité sur les réseaux sociaux…). En tant qu’experts digitaux, nous conceptualisons également vos campagnes directement aux formats particuliers des stories Instagram ou encore de TikTok, des réseaux aux codes que nous maîtrisons parfaitement.
Nous sommes à votre écoute : notre travail est de comprendre votre univers, vos valeurs, et de les traduire visuellement dans le style qui vous convient.
La vidéo est le medium de notre époque, et j’y consacre l’essentiel de mon travail professionnel au sein de l’agence Lyketil que j’ai co-fondée en 2017.
Formée professionnellement à l’Ecole de Film de Prague en cinématographie et montage, j’ai une prédilection pour la sensibilité du cinéma documentaire; sensibilité que j’apporte à mon travail, même le plus “corporate”.
Chercher l’humain, rendre compte d’une époque ou d’événements, est un travail que je poursuis tant en photographe qu’en vidéaste, dans une philosophie plus large de présence au monde et de compréhension de sa complexité.
Cinematography Showreel featuring works from 2013 to 2016.
Corporate work featuring excerpts from 2019-2020
Je travaille professionnellement en tant que photographe et vidéographe en Suisse romande pour des clients exigeants : Firmenich, André Borschberg (H55), Société Privée de Gérance…
Ces travaux sont réalisés pour le compte de l’agence Lyketil, que j’ai co-fondée en 2017. Découvrez l’intégralité de nos réalisations sur lyketil.com
Spécialités : reportages documentaires à fort storytelling, vidéos et photographies d’entreprise, vidéos et photographie événementielle, contenu multimédia pour le marketing digital.
“The woods are lovely, dark and deep,
But I have promises to keep,
And miles to go before I sleep,
And miles to go before I sleep.” Stopping by Woods on a Snowy Evening, Robert Frost
Si nos imaginaires sont le fruit de nos époques, ils sont aussi indissociablement liés à la topographie qui nous entoure.
Ce projet photographique explore ce lien entre espaces extérieurs et intérieurs, en prenant pour sujet le “Nordic Noir” - ces policiers portés exclusivement par des auteurs scandinaves et ayant pris une ampleur mondiale ces quinze dernières années.
Au delà des différentes intrigues, des différents styles, une ambiance donne le rythme et nous absorbe, fait de ces oeuvres qui pourraient être éparses, un genre à part entière. Qu’est-ce qui dans les fjords, forêts, villages et montagnes, nous appelle ? Quels sont ces lieux où les imaginaires prennent racine ?
Les lieux habités n’ont pas besoin d’humains. Ils vivent par eux-mêmes, pulsation invisible qui se tapit dans les espaces négatifs.
Il suffit de plisser les yeux, ou les fermer complètement, pour s’en convaincre - ou encore aller au devant de l’impression, la capturer toujours partiellement, dans l’espoir que la figer permettra de mieux l’observer.
Cette série explore la qualité quasi-abstraite que prend le monde vu du ciel.
Les mouvements sur multi-niveaux des vagues alliés aux jeux de lumière des nuages, subliment la puissance de l’océan - sans doute un des rares sujets à gagner en envergure le plus on s’en éloigne.
Ce qui frappe l’oeil quand on voit l’océan de si haut, c’est sa lenteur, presque une immobilité. Les vagues qui semblent déferler sur la plage, leur cadence, leur puissance… tout semble ralenti, et des motifs jusque là insoupçonnés se déplient, tranquilles.
“It’s not the way you look, it’s the way you move”. Ce qu’on croit cacher aux yeux, on le communique par le corps.
Chacun se révèle discrètement mille fois par jour, par une manière de prendre un objet, de suivre du regard, de replacer une mèche ou d’ouvrir une porte. Le corps est un livre ouvert, il n’y a de liberté que celle du corps.
Cette série capture nos mouvements et brouille la ligne entre le mouvement structuré par l’art et le mouvement involontaire capturé en plein vol. Qui danse, qui vit ?
“Inner travels to the outer world”.
Ce projet photographique continue l’exploration du lien entre les espaces extérieurs et notre topographie intérieure, et la manière dont on s’approprie l’espace public pour rêver et suspendre des moments dans nos va-et-vient quotidiens.
Prises à chaud, jamais posées, ces photographies se veulent de vrais instantanés de nos moments intimes, des “moments T” de nos arcs narratifs personnels.
Venant de Suisse, on connaît la nature, mais on ne connaît pas l’espace. L’immensité des déserts américains donne le vertige autant que le vide: un “rien” palpable, vivant, séduisant.
Si les photos rendent bien la lumière particulière, ce medium est pauvre lorsqu’il s’agit de transmettre cette vertigineuse impression, qui se vit en 3D…
A priori rien ne lie les cultures et les paysages de Scandinavie, du Japon et de Hawaï. Mais à force d’observation, on la ressent, comme un fil rouge, cette identité commune : la proximité de l’océan, l’insularité. Entre Fjords et Pacifique, des continuités sensorielles étonnantes.